Le bonheur, c’est simple comme un bout de Suisse, février 2016

Le plus dur, c’est de faire rentrer les grosses valises dans le petit coffre d’une Seat Ibiza. Après, tout n’est plus que formalité! L’aéroport est bien calme. On croise 2/3 militaires, je pense aussi des gendarmes, bref, on croise quelques armes. Pour le peine, j’opte pour un Perrier, et délaisse le petit noir, de peur d’avoir des gestes un peu nerveux et faire peur à ces messieurs. Je me mets en mode suisse, tranquiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiile, ça joue!

Le passage à la douane se fait sans soucis. Après? Bah, on monte, on descend, on remonte, on redescend… En fait, il y a du vent, beaucoup de vent. Les avions prennent du retard, et moi je prends des mollets à force de monter et descendre ces saletés d’escaliers, pour suivre le changement des salles d’embarquement.

Je me pose à Genève. En boucle, on entend: « Pour nous aider à maintenir un niveau de sécurité maximal, n’abandonnez pas vos bagages! ». C’est bien cela, on est arrivé en Suisse. Nan, mais vous croyez quoi??? Sécurité ou pas? Qui a envie d’abandonner ses bagages? Mais que fait la SPA? Heu, la police??? « N’abandonnez pas vos bagage! » 😀
Allez, direction le village des Diablerets, un chalet nous y attend!

A la tombée de la nuit, les premiers flocons tombent sur le chalet… le lendemain, tout est blanc!

Ce soir, tonton Othmar et Marie-Jo nous invitent à la partager la raclette à discrétion, avec la religieuse, bien sûr! Comment ça une petite Fée verte pour digérer??? Bon, ok, on va réussir à gérer les deux étages à monter. Bah oui, faut r’mooooooooooonteeeeeeeeeeeeeeer!

Allez, hop, si on montait à 3000 mètres? Avec un temps magnifique, sous un beau soleil, sans vent, on y va! Direction le col du Pillon, pour le Glacier 3000!

Pour se remettre de toutes ses émotions et des efforts physiques, moi je dis, j’ai bien mérité ma traditionnelle croute au fromage; oui avec un œuf namého, faut au moins ça! Hein, je ne fais que manger? Rhoooooooooooo, faut dire, qu’avec tout ce fromage de partout… Mais je fais une nanade digestive après, alors… bah je pourrais faire gouter? ^^

C’est déjà la fin du séjour: que c’était bien! Je me suis régalé. C’est tout de même incroyable, la rapidité à laquelle passe une semaine de vacances comparée à une semaine de labeurs. Quand on ne voit pas arriver le WE tellement la semaine peut paraitre longue, et là, en vacances, on les commence, et elles sont déjà finies.
Je repars avec un léger excédent de bagage… tu sais ce que c’est, du Rivella, du Gruyère, de la double crême, du chocolat, des Rôsti… Le retour est plus calme en terme de stabilité en vol qu’à l’aller.

Je rentre à la maison, et aide Momi à vider les valises. Je n’ai pas vraiment le temps de me poser, demain soir, je suis à Malestroit pour le tremplin du Festival au Pont du Rock!

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