Le vendredi au festival du Roi Arthur 2015

Pourquoi faut il une réunion au boulot, le jour où je dois réussir à partir à l’heure? Oui, pourquoi?
C’est donc en retard que je rentre dans ma maisonnée. C’est donc en speed que je prépare mon bardas. Une chose est sûre, c’est tout cool que je pars vers Bréal, avec la certitude d’y passer un bon moment. La météo est au beau, enfin, et ça, c’est la cerise on the cake!

L’accueil sur le site est parfait. La disposition a un peu changée. J’avoue que je suis pour le coup un peu paumé, mais je finis par retrouver mon chemin en croisant un Louis Bertignac tout guilleret.
Je suis encore en backstage, quand j’entends du son sur la scène Lancelot. C’est Zval qui ouvre le bal. J’avoue que c’est un peu foutraque, mais ça pique ma curiosité.

Bikini Machine nous présente en partie son nouveau CD Bang on time. Je n’avais encore jamais vu un live. Je ne suis pas déçu, bien au contraire: j’aime!

Si je ne reste pas jusqu’au bout, c’est juste pour une raison d’intendance: c’est l’heure du souper! Ah comment ça ce n’est pas une excuse? Namého, si j’ai l’estomac vide, je deviens ingérable moi.
Je vais t’avouer une chose, c’est que je ne reconnais même pas Sergent Garcia quand il arrive sur scène. Ce n’est pas vraiment mon univers musical. J’ai un vieux CD (un poquito quema’o, 1999) à la maison que j’ai vraiment bien aimé, et je suis resté bloqué dessus. Aujourd’hui, je ne l’écoute plus vraiment, mais je suis sûr que je vais le remettre dans la platine par curiosité de retour à la maison.

La suite? Aaaaaaaaaaaaaaah, le suite! Louis Bertignac. Ce qui est drôle, c’est qu’il a commencé à jouer avant ma naissance; alors là, y en a qui se disent: ah ah ah, Kiki est un gamin! Dans le même temps, on se dit que ce boss a plus de 40 ans de carrière; et là, y en a qui se disent: mais Kiki est vieux! Oo Bon ceci dit, il l’a dit lui même, on aime les vieilles, alors c’est la même pour les vieux?
Je chante, je crie même, j’écoute, j’aime… heu non: j’adore! Un souvenir magistral qui va me marquer!!!

Bon, les Wampas: entre festival, et concerts, je les ai vus plus d’une fois! Mais ils font encore partie de ma motivation à être là ce soir! La grande classe. Le public est avec eux, moi aussi. Un excellent moment lâcher prise!

Pour conclure mon festival du Roi Arthur, je retrouve Akhenaton sur scène mais sans ses camarades d’IAM. La première chose qui me frappe, c’est son sourire: son plaisir d’être ici se lit sur son visage. On sent qu’il aime faire son job, et en plus il le fait bien.

Voilà, pour moi, c’est l’heure de rentrer à la maison: je m’en suis mis plein les oreilles, et plein les yeux. Je tiens à remercier très sincèrement les personnes que j’ai croisées ici ou là, et qui ont rempli ma besace de mots purement gentils. Merci aussi à l’orga de m’avoir accueilli, et aux artistes pour avoir assuré chacun dans leur registre.

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