Il était une fois, dans l’ancien temps…

J’ai eu le temps de la faire, cette mise à jour. Mais vieux motard que  jamais. Nan, pas Johnny, pas encore lui, il ne manquerait plus qu’il ressorte un nouveau CD! Comment ça c’est déjà fait? 😀 😀 😀
Je ne suis productif que dans le mouvement. Ralentir voir s’arrêter ne me réussi pas. Je n’ai pas d’équilibre et j’ai tendance à choir ou plus clairement me casser la gueule. Du coup, je rentre en pleine procrastination, en attendant de retrouver ma liberté chérie.

Cette fois, Momi a sorti le fouet pour en guise carotte, ou plutôt de cacahuète . Ok, ok, on parle bien du fouet pour monter une bonne mousse au chocolat maison, c’est ça le secret! Je cède.
Alors je m’y colle enfin… enjoy! 😀

On revient en arrière, on est en février (le temps d’une gestation soient 9 mois donc, ou tout juste 3 trimestres, ou encore déjà deux confinements… je te laisse choisir ton échelle de temps! 😉 ). Ce jour là, je suis sur la Cotso, et la météo est avec nous! La machine à vagues est passée par là. Aux premières heures, les lumières sont magnifiques. J’en oublierai le froid qui envahit ma fourrure simiesque.
Peu de monde à l’eau, encore moins de monde sur les falaises. Je suis bien, et je compte bien en profiter. Visiblement, le sourire est de mise aussi sur l’eau.
Momi étant prévoyante, on reste manger un morceau le midi pour profiter et optimiser jusqu’en  début d’après-midi au bord de l’eau qui bouge.
On prend ensuite la direction de la maison. Arrivé sur Vannes, je réclame comme un enfant que je suis éternellement, de faire un tour au bord de l’étang, tu sais l’eau qui ne bouge pas, mais qui reste de l’eau qui mouille, hein, avant de retrouver nos pénates.
Quand on finit enfin par rentrer, mon bout de nez est aussi rouge qu’un poivron du même nom, ou qu’un ballon de Père Benoit, pour les plus anciens qui ont encore cette référence. J’en profite pour insister sur le poivroN à ne pas confondre avec le poivroT pour ceux qui auraient les idées mal placées! Le visage me tire, d’une orgie de soleil saupoudrée d’un petit froid vif. Mais j’ai une putain de banane: I’m alive! 😀
Vivement… 😉

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