Pont du Rock 2013, samedi suite et fin (3/3)

 

Quant à Lescop, bah, ma parole, oups, mes oreilles, « Mathieuuuuuuuuuuuuu, t’es trop beaaaaaaaaaaaaaauuuuuuu », j’en viens à regretter une époque où c’était « Patriiiiiiiiiiiiiiick », mais ça, c’est mon côté nostalgique lol.

Olivia Ruiz… Olivia… Ruiz… Si je vous te dis, écoute bien, si je te dis que je ne connais pas?! Bon, OK, je connais le nom, je connais deux trois ritournelles diffusées sur les Z’ondes et devenues incontournables. Ceci dit, les parents de Momi en savent ou du moins, croient en savoir plus que moi à son sujet, et ça, je peux te dire, que ça fout les méga boloxes Oo
Mais comment vais je faire, moi, petit Kiki inculte, pour la suivre sur scène si je ne suis pas au jus des potins? Rahhhhh, tant pis, j’y vais, je me lance, j’aurai des petits camarades dans la fosse à mes côtés pour me rencarder si jamais je me retrouve perdu au milieu d’une chanson.
Bah, tu sais quoi? C’est plutôt pas mal, elle a l’air un peu déjantée, j’avoue, mais à côtoyer Momi, ça ne me fait pas peur. J’ai même reconnu finalement plus de chansons que je ne pensais connaître; et celles que j’ai découvertes étaient somme toutes bien sympa. Bilan? Sympatoche moment scénique, vraiment.

Pis v’là Féfé, sur la scène Grenouille…

Aaaaaaaaaaaaaah, les Ogres de Barback, un régale pour les yeux et pour les oreilles. Tu sors de chouettes instru, des cuivres, de jolies lumières, tu es heureux d’être sur scène, tu fais bien ton job, et tu le partages, forcément, ça le fait! Pas déçu un instant, je ne m’attendais pas à autre chose, je savais que j’aimerai.

Carbon Airways, la jeune fratrie électro. Ils sautent un peu partout quand ils ne sont pas derrière leurs consoles… Dommage que la lumière en soit pas au RV pour bien les suivre; ceci dit, n’y connaissant rien aux codes de l’électro, il se peut que ça soit conceptuel, auquel cas, j’excuse auprès des initiés. Je reste bluffé par leur talent, et leur énergie. Respect.
A la fin du concert, un peu jaloux, j’ai tenté de bondir comme eux, mais je me suis retrouvé accroché à une branche, et forcément, ça donne pas le même style qu’un micro, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin!

Non, non et non, je ne mets pas au rap; chacun son truc, ça c’est pas le mien; force m’est d’avouer malgré tout, que 1995, m’a cueilli. Musicalement, je me suis même surpris à battre le rythme; mais scéniquement, ça la pète carrément. Ils se donnent les moyens, ont bossé sur les décors, la mise en scène, de quoi me faire rester devant la scène avec le sourire.

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