… c’est un doux mélange d’un ciel affranchi, du diable et d’un ange…
Bref, Kiki est dans la plaaaaaaaaaaaaaaaaaaace!
Réveil à 2h30 dans la nuit de mercredi à jeudi, et zou, à 3h30, voiture chargée en mode déménagement, on est parti. Ni une ni deux, moi, je me recale dans mon coin dans l’auto; laissant Momiflette seule face à la tempête. Oh hé, ça va hein, tu ne vas pas me dire qu’une bretonne digne de ce nom (surtout en ces temps), ne sait pas gérer une tempête. J’irai même jusqu’à dire, que c’est quand il fait beau, qu’elle aurait le plus de soucis, par manque d’habitude!
Bref, après avoir affronté les intempéries nocturnes, je trouve asile dans une demeure accueillante, genre arche de Noé, tant et si bien, que l’on trinque au café avec des tas de poils aux griffes peu acérées, des lézards, des dragons, et même, des adorables humanoïdes, voire humains!
Après les intempéries nocturnes, j’ai affronté valeureusement les embouteilleries diurnes (fabuleux mot valise dont tu chercheras toi même une définition!^^) dignes cette fois de cette métébas parisienne.
C’est par téléguidage téléphonique, que nous avons réussi à grimper au sommet de notre montagne hôtelière.
On prend nos aises dès l’arrivée, et la bretagne n’est pas loin… Le crapaud, alias le lutin de Momiflette, prend son rôle de gardien de phare urbain consciencieusement. Quand au quotidien, la seule vue des fenêtres est de l’herbe, des arbres, quelques maison, et des oiseaux, ces vitres se transforment en une énorme télé ensorcelante avec au programme non pas la folie bergère, mais sans aucun doute, la folie parisienne!
Après un bon gouter, on part à l’assaut de l’ile de la Cité.
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- Prout du cheval, asphixie de Kiki!
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- Alors, là, moi je passe mon tour, pour aller me promener en bas! ^^
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- Ô Notre-Dame ! Oh ! Laisse-moi rien qu’une fois, courrir après tous les pigeons.
Rien de tel qu’une bonne nuit de sommeil, pour se requinquer et partir à l’assaut de Panam. Impossible d’y aller sans passer par la grande dame de Fer. Mais naaaaaaaaaaan, pas Margaret, pffffffff! Je parle de la Tour N’Eiffel bien sûr.
Debout fainéante, tu crois quoi? Que tu peux te reposer comme ça en toute impunité? Oo
Alors alors alors… chuuuuuuuuuuuuuuuuut, y a d’la rumba, oups, de l’amour dans l’air: KISS ^^
La vache, le peuple ici. Non, arrêtez les flash, je suis ici incognito en famille!
Ah? Ce n’est pas pour moi? C’est pour? César? Mais il est pas, comment dire, couic, décédé lui? Impressionnant, je me suis bien fait avoir moi en cours d’histoire; je n’aimais vraiment pas ça, et en plus, on m’aurait menti? Oo
Une petite marche à la tombée de la nuit pour digérer un p’tit resto? Y a qu’à demander ^^
Bon, faire le touriste, e déteste pas, hein, mais on est tout de même là pour une honnête et respectable raison: un mariage!!! Alors c’est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, vive les mariééééééééééééééééés! 😀
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- mouahaha… et dire que bêtement, une bouteille d’eau m’a échappée des mains, et que vraiment pas de chance, il a gelé cette nuit là 😀
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- Blanche Neige a eu aussi un réveil difficile ce dimanche matin, à l’hotel.
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- Au taquet, le retour sur les chapeaux de roues: GAAAAAAAAAAAAZ!
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- Conclusion champêtre de ce superbe WE 😉
Le retour se passe sans encombre ou presque: 2/3 du trajet sous le soleil, pour finir le dernier 1/3 sous la flotte, histoire de me rappeler que je quitte la France pour rejoindre ma Bretagne :D.
Mon doux et humide pays avec ses inondations hivernales, que je suis content de revoir, et de sentir tes bisous baveux couler sur mes joues…
Le déchainement de ces gestes bécots mouillés au moment de vider l’auto me fait déguster avec encore plus de bonheur de rentrer à la maison!
(Un énorme bisou aux Mariés, Marc et Fabien, et à tous ceux que j’ai croisé durant ces quelques jours parisiens: que c’est bon de choisir sa famille parfois!)