Je te raconte un truc, mais chut, ça reste entre nous, hein, c’est un secret!
Il y a un moment de ça, j’ai croisé un type (excuse moi du terme mais….) loin d’être con. Il s’appelait Confucius. Dans l’intimité, on l’appelait Maitre Kong, et pendant les soirées arrosées, parfois King-Kong… C’est d’ailleurs en haut de l’Empire State Building que l’on a partagé nos premières cacahuètes. Il était si grand de par sa taille et de sa sagesse, qu’il était en fait juste monté sur la pointe des pieds pour atteindre le sommet de l’édifice, mais bon, passons ce genre d’anecdotes personnelles.
Il ne pouvait cacher la passé tumultueux de sa famille célèbre dans ces faits de guerres transmis comme par héritage. Mais lui choisit une toute autre voix, et refusa de prendre les armes, autre que des livres et un « crayon ». Il prit le chemin de la sagesse et de la philosophie.
De cette amitié m’est restée une phrase: « On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une. » Alors, il faut la vivre cette vie, et il faut qu’on la rende belle, hein!
En attendant de te présenter mes vœux, je vais te conter la préparation des fêtes de fin d’années, à la maison, dans la famille, au boulot, et dans ma jolie ville de Vannes.
Ma rencontre avec le bonhomme un peu enveloppé avec son manteau rouge et blanc:
Et on finit cette année haute en émotions: ça se fête non?
Voilà, c’est finit, ou presque. Bah oui, on ne peut pas clôturer sans une bonne galette des Rois:
Après tout ça, que te dire, que te souhaiter? Une bonne année? Certes! Mais le plus sincèrement après avoir partagé mon petit secret de myto/mi-tard, ce que je te souhaite (si ce n’est pas déjà le cas), c’est de vivre TA vie, d’en profiter, pour toi, et tes proches! BE HAPPY! Moult kissouilles mon ami!