Mon voyage à Nantes, aout 2015.

Fort de mon expérience de l’année passée, cette fois, je prépare un chouia ma venue à Nantes. Je prends note de 2/3 sites incontournables, et imagine vaguement un itinéraire, en laissant une grande place à la déambulation, le bout du nez au vent.

La chance est avec moi, il fait bien beau, et je trouve une place de parking de suite. Comme un bonheur ne vient jamais seul, un gentil monsieur quittant les lieux, m’offre son ticket qui se termine à midi. Comme on dit, y a pas de petit profit, j’accepte cette entraide avec un grand plaisir.
Je commence directement par les machines de Nantes, et particulièrement l’imposant éléphant. Puis je repars vers la centre pour passer au parcmètre, et me restaurer.

De l’art des enseignes, par le Gentil Garçon, et Grégoire Romanet. Au risque de finir avec un torticolis, le mieux est de se promener en regardant de tous les côtés, sans oublier de lever le menton.

Il faut suivre la ligne verte coûte que coûte? Allez, on poursuit! ^^

Bon, me voilà dans une des rues que je tenais absolument à voir. L’idée est juste géniale. C’est du brut, mais c’est à la fois drôle et pertinent. J’adore! Merci Monsieur Gavin Pryke.
Alors bien évidemment, tu ne peux pas voir le mouvement, mais sache, que ce sont bel et bien des automates!

Ensuite, bah c’est un passage obligé, un moment champêtre, et ludique: le jardin des plantes, une fois encore plongé dans l’univers de Claude Ponti.

Ca va bientôt être l’heure de rejoindre l’auto. On voit de nouvelles œuvres, mais on retrouve également celles de l’année dernière restée en place. Il fait chaud, très chaud même. Je rêve d’une bonne douche…

Je ne résiste pas, je retourne sur l’ile. Mon ami l’éléphant, tu m’offres un coup à boire pour me désaltérer?

Pour finir ce beau voyage, je vais perdre la tête du côté de la lune… La Terre est repérée, la lune est bien là: tout va bien! Alunissage réussi. Comme on dit, le plus dur dans un voyage c’est de rentrer. Redescendre sur terre n’est pas le plus facile, mais je reviendrai, hein, je reviendrai!

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