Fatras, et FFR Celtic Fiesta au Festival Interceltique 2014

Le Fil, pour moi, c’est le off. J’y mets les ripatons, au moins une fois par édition, plus si affinités, et surtout si dispos coïncidant avec une météo favorable. Cette année, ce sera deux fois donc, et c’est ce que je vais te raconter ici même, avec une rencontre avec les Fatras, FFR Celtic Fiesta.

Ce mardi matin, je ne savais pas comment occuper cette journée annoncée comme pluvieuse. A contrario, cette dite matinée, est ensoleillée. Et il n’en faut pas plus pour me décider à enfiler mon kilt, et envisager mon traditionnel périple au FIL pour voir les FFR Celtic Fiesta.
Momi a à peine le temps de préparer son matériel que l’on saute dans l’auto après le repas. Totalement désespéré par le déluge qui s’abat sur notre bolide, et regrettant le confort de mon lit pour une sieste dinatoire, je suis contraint de m’observer l’intérieur des paupières quelques minutes, pour me redonner des forces pour la suite des aventures.

Aussi incroyable que vrai, on a du mal à trouver de la place pour se garer à notre arrivée. A croire que les intempéries attirent le touriste pour faire plus pittoresque. Bref, il ne pleut que sur les… hum, je sais plus! 😀 Et du moment où on sort de la voiture, il ne tombe plus une goutte, yepaaaaaaaaa! C’est donc parti pour la déambulation.
Au moment où on va passer sur l’autre rive, je suis tiré par l’oreille par un chouette son, et je reviens sur mes pas pour découvrir qui n’est ce donc qui fait ça. Je ne les reconnais pas de suite, mais oui, je les ai déjà croisé quelque part, les Fatras! Un excellent moment, et une chanson entêtante que l’on ne manquera pas d’oublier, puisque l’on repart avec l’EP Gaston 😀

On continue de profiter comme ça jusqu’au bout de l’après midi, le nez au vent, et au sec!
AU moment de passer à table, les affaires se compliquent. J’opte pour des crêpes, mais faute de place, je me rabats sur une pizza… et faute de choix… sur une autre pizza… et faute de place… AAAAAARGH: J’AI FAIM! Ok, je suis zen, puisque c’est bien connu, je suis quelqu’un d’extrêmement patient, et si peu désagréable quand j’ai la dalle…. On finit par manger, voire, dévorer. Tellement ça fait du bien de se remplir la panse, je ne vois pas ce qu’il se trame dans mon dos. Non?! Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii: il pleut! Que dis-je, il drache fort. Même pas peur, je mets la cagoule et zou, j’y vais! On arrive presque sans pluie devant la scène de FFR.
Ce n’est que de courte durée. Je passe autant de temps à sourire devant l’objectif qu’à me mettre à l’abri sous les parasols. Le truc, c’est que les parasols, pour le coup, ne sont pas adaptés à la pluie, et finissent par fuir Oo. Ce soir, on ne reste donc pas longtemps, pour la bonne santé du matériel de Momi, malgré une excellente ambiance.

Vendredi, j’apprends avec stupeur que je pourrai pas revoir FFR dimanche comme je l’avais imaginé dans ma petite tête, puisqu’il ne reste que deux soirées, aujourd’hui et demain. Comme Momi met franchement de la mauvaise volonté en préférant travailler samedi tard, c’est donc maintenant, ou jamais. Soit, je ne me fais pas prier, et on brave les bouchons, soit dit en passant, quasi inexistants, pour rejoindre Lorient. Comme par hasard, on arrive à l’heure du diner: un peu têtu comme un breton, je retourne sur les lieux du crime, pour réussir à manger un crêpe cette fois. Je découvre sous les conseils d’un lorientais fort sympatoche, une excellente crêperie, la Brocéliande pour ne pas la nommer 😀 . Tellement je me remplis l’estomac, j’arrive un chouia en retard sur la pointe des pieds du set FFRien. Cette fois, il fait beau, c’est bonheur. Je me régale, et Momi ne boude pas son plaisir non plus. FFR reste et  demeure énorme: AMBIAAAAAAAAAAAAANCE!

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