Pont du Rock 2013, le samedi (2/3)

 

Samedi, 16h, j’arrive sur le site. Cette fois, pas de tour pour prendre l’air: ça craint un peu, voire beaucoup. Je suis équipé de mon ciré, et me colle à l’abri sous la tente réservée aux médias.
Comme on est une belle grande famille de gens bien élevés, on s’assied gentiment en prenant une tasse de thé, le petit doigt en l’air, en se lamentant du temps de canin; à moins qu’on se remonte le moral en racontant des …, enfin, des …. pensées philosophiques, voilà, c’est ça: nous philosophons!

San’jyla entame son set. Raaaaaaaaaaaaah, trop de philosophie, tue la philosophie, j’y vais en courant, sans avoir regardé ma montre Oo
Comment ça, je ne peux pas courir? Momi, non, mais moi, j’ai pas de soucis namého. En chemin, je me rends compte, que la pluie a laissé place à un misérable crachin, à tel point que je cherche l’oiseau coupable de ce petit pipi…
Une fois en fosse, j’oublie ma recherche du petit volatile, pour me concentrer sur la scène; de toutes manières, un ci petit volatile, ne peut avoir qu’une toute petite vessie, la preuve c’est que je ne sens plus rien.

Sur scène, je découvre un bon son, et des garçons ultra vivants qui communiquent leur bonheur d’être là… Réellement un bon moment, sauf quand j’ai trouvé l’endroit où il ne fallait pas être: dans la fosse, à la limite de la bâche de la scène, au pied des enceintes de basses SPLLLLLASSHHHH Oo; et une douche de Kiki, une! Momi elle jubile, elle a eu la bonne idée de retirer l’appareil photo juste avant que les vibrations ne fassent vider la bâche à l’insu de son plein gré; parce que on ne me le fera pas à moi, je me doute bien, qu’il s’agit d’un coup monté, nièk! Que je tienne cet énorme volatile qui s’est servi de ce petit coin de paradis de photographe pour en faire une pissotière :/
Momi, elle, elle s’en fiche, elle me ramène sous le soleil, et va déposer ses affaires de pluie: San’Jila a ramené le beau temps, la soirée s’annonce excellente!

 

Pour les avoir déjà croisé sur scène, je me réjouis d’avance de retrouver les Hyènes. Du rock français, du bon, qui déménage, mais qui ne se prend pas au sérieux. J’adore. Que dire de plus? Heuuuuuuuu, Kiki en mode gaga ON; pas comme la lady, dis! Surtout que la lady dit plus grand chose, et n’a surtout rien à voir (surtout si comme la rumeur le veut, elle est cachée derrière un pillier) Oo; bouh que c’est laid ce gag: Kiki, sort du corps de tonton Gérard bourré au bal du mariage de sa nièce!
Je suis confus tout plein de ces digressions propres à mon état de confusion, quand je ne sais exprimé mon bonheur et mes remerciements pour cet excellent moment; comment pourrais je dire ça plus softement? Peut être en leur disant juste BRAVO? Ouais, on va faire ça, chapeau les Hyennes! 😉

The Jim Jones Revue, les « so brittish » de l’étape ^^
Sans les connaître, mon petit doigt m’avait prévenu que j’aimerai, et tu sais quoi? J’ai aimé! Non pas que j’aime les anglais, hein! J’ai pas dit non plus que je les aimais pas, roooooooooooooooooooh hey, j’vais m’en sortir ou bien? Disons que, le rock un tantinet old school qu’ils nous proposent avec leur look pur londonien, ça leur sied à ravir, et ce n’est que du bonheur pour les esgourdes et les mirettes, miam! Et pis alors cette voix du chanteur, waouh, énorme!

 

Arno, lui, se produit sur la scène Dragon, devant un public concquis.

 

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