Un co-voit’ pour Bordeaux.

Alors que Momi profite de 4 jours de congés spéciaux, la petite tribu peut se permettre du coup de partir du vendredi matin. En chemin, on fait un stop and go au pit, pour récupérer un chouette carpooler, totalement français, c’est à dire pas breton… mais sympa pour autant hein. 😀
Après un merveilleux tajine en guise de repas, de celui qui te ravit les papilles et qui ordonne à ton estomac de devenir le maitre de ton corps, en faisant croire à tes yeux que l’intérieur de tes paupières a été rénové, et qu’il serait intéressant d’admirer les nouvelles tapisseries palpébrales. Perso, je résiste à une sieste dinatoire, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, mais je ne balancerai pas de nom…

Arrivé direct à l’hôtel vers 16h30, on prend notre chambre, et retrouve rapidement les différents copains logés à la même enseigne. C’est donc avec grand plaisir qu’une partie de baby-foot démarre deux contre deux avec seule une main, l’autre tenant la bière bien entendu, mais aussi par équité pour Momi… 😉

Après le resto avec un belle tablée de 12 convives, je ne cache pas mon plaisir de me glisser sous la couette pour conclure cette journée, un peu longue, mais bien conviviale.

Un réveil tout en douceur, où je profite gaillardement du buffet petit dèj’. Je ne voulais pas, mais tant pis, je me retrouve avec de la viande à table, et pas des moindres, du canard… Désolé, je passe mon tour, et le refile aux copains, je préfère de loin un bon bout de fromage. Les canards, je les préfère en photos.

C’est tout tranquilou qu’on se dirige vers le plan d’eau. On se cale avec Hervé, et on va faire des bisous aux copains qui arrivent au fur et à mesure. « Hey, joyeux anniversaire Gérard! », « Génial, du cassoulet! », « Oui oui, je vais caler le bateau dans un équipet pour la route. », « Sinon, ils ont prévu du vent ou bien? »…

A 11h30, la première course de répart’ est lancée. 32 régatiers sont inscrits, et se réjouissent de pouvoir naviguer sur ce chouette plan d’eau, sous les commandes d’Eric Kopka en comité de course, en binome avec Nathalie Bouyer. Nicholas Selves, et Bernard Motte ne sont pas loin, voire tout près pour l’organisation.

3 courses, sont lancées dans l’après -midi, avec très peu de vent, les jeux A sont de rigueur.


La journée de régate finie, quelques bouteilles avec des bulles se regroupent spontanément sur la table avec des grignottis. Ils semble qu’il y ait un truc à fêter. Le plus important est de se retrouver à trinquer entre copains, tous ensembles. Que ce soit pour une longue-vue, ou des jumelles; ou bien encore 10 veaux’rce-(jeunes), ou un mari-âge(r)… Merci à tous pour ce bon moment, vraiment, à la fois drôle et touchant.

De retour à l’hôtel, c’est une réunion de classeM qui se fait toujours autour d’une pression et pourtant sans pression bien installé dans le canapé, avec de canapés, et des… cacahuètes ! Momi en profite pour regarder ses photos du jour. Moi, je commence juste à avoir faim. C’est une nouvelle tablée d’une douzaine de copains qui se reforme ce soir encore. On rigole bien, on boit bien, on mange bien : tout va… bien ! Le temps de rester rigoler avec quelques copains et l’hôtesse d’accueil de l’hôtel venue tout droit de Mars, il est maintenant l’heure de rejoindre le lit pour une bonne nuit de récup’ !

Petit dèj aux aurores en ce dimanche matin : cette fois, la stratégie est en place, et le petit dèj’ est digne de ce nom.

C’est donc en pleine forme, ou presque que l’on rejoint le plan d’eau, pour cette seconde et dernière journée de régate.

Le vent brille par son absence encore. il a cependant tourné, mais malheureusement pas du bon côté. Les bouées sont remouillées. 4 départs sont donnés avant la fin, soient deux nouvelles courses validées.

J’ose avouer que Momi jette l’éponge un peu avant la fin, pour aller partager une petite mousse avec deux invités surprise, venus faire un petit coucou. C’était cool, et surtout, elle avait assez de photos de reflets pour le WE ! 😀

Une fois, le matos rangé, tout le monde se réunit dans la salle pour la proclamation des résultats. Des applaudissements et des bisous plus tard, il est l’heure de rejoindre les véhicules. Le retour se fait tout en douceur, avec des siestes éclairs, ou pas, et du bavardage potache en grande partie, mais pas que. Un excellent WE qui se finit. Merci beaucoup à tous ceux qui ont participé de près ou de loin à sa réussite.

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