Au Pont du rock 2022, le samedi !

Allez là, deuxième journée au Pont du rock version 2022… Un peu de fatigue accumulée de la soirée d’hier, mais tous les feux sont au vert ! L’ambiance est toujours là, et elle est bonne. Sur la route des idées folles nous sont venues et d’avance on s’amuse de la suite des évènements.
J’arrive sur le site, certes les mirettes un peu cernées, mais je me réjouis de la prog’ à venir. Je suis convaincu de me régaler.

Les réjouissances commencent sur la petite scène, avec les We hate you please die… la vache, merci, pour l’accueil si l’on s’en tient au nom du groupe ! Ok ok, on va faire comme si je ne connaissais pas le nom : moi aussi je vous aime ! 😀

Il ne faut pas plus d’une minute pour que les hostilités partent en fumée. La claque ! De mémoire, j’ai rarement vu un groupe d’ouverture d’une soirée aussi enthousiasmant. Tout est bon, comme une envie de bouger le popotin en rythme d’un garage punk rock assumé et maitrisé. Waouh, la soirée commence vraiment bien.

C’est sans compter l’enchainement avec Cachemire : clairement, le Pont du rock porte fièrement son nom ce soir ! Le quator nantais fait du rock, mais il le fait bien. Ca déchire, ça envoie du bois, ça transpire… et sans aucun doute, il semblerait que rien ne puisse les arrêter, en mode « si la porte est fermée, on rentre par la fenêtre… cordialement! ». J’adoooooooore !!!

Je ne te cache pas que ce n’est pas la première fois que je vois les Svinkels. Ce n’est assurément pas ma cam’, mais scéniquement, j’y trouve mon compte. J’apprécie notamment le partage avec le public, et le public leur rend bien. Je me dis qu’un jour si j’ai l’occasion d’échanger avec eux, j’ai des choses à découvrir, alors why not ?!

Et c’est à ce moment là…. une énorme cerise sur un gros gâteau… que Lofofora envahit la grande scène, et là, bah, je suis un gosse devant le sapin de Noël ! Du bolduc qui fait briller les yeux avec l’énergie et le jeu de Reuno, du papier cadeau qui fait rêver à chaque morceau en imaginant ce que contient le prochain, des cadeaux tous plus réjouissants les uns que les autres, avec la seule déception, c’est quand ça se termine… Pour autant, je fais le plein d’énergie, et tant pis, si ça fait pique-assiette, je repars avec les poches pleines, et les esgourdes enrichies d’un bon métal comme j’aime !

Bon, ensuite, je retrouve les copains dans la fosse de The limanas. Forte des conditions de prises de vue, manquant cruellement de recul physique sous peine de devoir monter sur la crash-barrière, Momi n’est pas à prendre avec des pincettes. Ce n’est pas la première fois que je les vois, et je ne sais pas quoi dire pour la rassurer.
Ça ne loupe pas : un morceau plus tard, je suis Momi et quitte le devant de scène, ne pouvant pas faire mieux, entre lumières compliquées, fumées envahissantes et conditions impossibles à respecter… un jour peut être…

Est il nécessaire de présenter le prochain, IAM !
« Quoi? » dois tu te dire… « Tu aimes le rap toi maintenant? »
Bah ouais, ça peut m’arriver ! Si tu savais tout ce que j’écoute à la maison… Même si ma cam’ c’est vraiment le bon rock, je fais partie de ces gens qui sont ouverts un peu à tous les styles ou presque… Et IAM, au delà de tous les bons souvenirs fixés par leurs morceaux, bah, ils sont juste bons, tant dans le fond que dans la forme. Le son est entrainant, les textes sont bien souvent incisifs en restant positifs. Alors oui, je danse le Mia, et j’aime ça ! Quel bon moment !!!

Il est temps de se diriger vers la petite scène pour la dernière fois de la soirée, pour voir Bagarre!
Alors comment définir ce moment? Ce n’est pas des plus évidents, voire pas faciles du tout. Après avoir tenté de comprendre ce à quoi j’assiste, j’abandonne. En fait, c’est indéfinissable. A la fois très imagé, à la fois conceptuel… J’en retiens un dynamise de dingue, et une cohésion de groupe qui transpire le bonheur d’être sur scène. Aimer la fête, et la partager avec le public me semble le mieux pour qualifier ce set… Ne me demande pas quelle étiquette je pourrais coller dans un genre musical, là, je suis aussi sec qu’un saucisson. 😀


La fin de ce samedi soir se passe donc sur la grande scène, avec Panda Dub ! Je passe du saucisson sec à la rosette de Lyon, bien ficelée. Là, il n’y a aucun doute, il n’y a qu’à savoir lire son nom : dub, électro… Il a de la bouteille : le set est bien rodé et le public est ravi ! Quant à moi? Bah, c’est l’heure de retrouver mes pénates pour revenir demain en pleine forme ! 😀

Bon, aujourd’hui j’étais en service minimum pour vaquer sur le site, mais j’ai tout de même quelques clichés où tu pourrais te reconnaitre…

Alors alors, dis moi tout… T’es prêt pour la dernière soirée du Festival au Pont du rock 2022, celle du dimanche? Bah, ‘va falloir patienter un chouia. C’est dans les tuyaux, maiiiiiiiiiiis, comme dirait le mouton… comment ça un mouton fait bèèèèèèèh? Bref, revenons justement à nos moutons, non, pas pour des merguez. Arrgh, je m’égare, entre le saucisson, la rosette, j’ai comme un gros appétit aussi appelé gourmandise qui me hante.
CQFD, tu l’auras compris de toi même, c’est un peu le bordel chez moi, et je fais ce que je peux pour filer droit sur le chemin et aller au plus vite, mais c’est sans compter les journées un poil (simiesque bien sûr ) rock’n roll qui font que je n’avance pas toujours aussi vite que je voudrais.
Promis, je fais viiiiiiiiiiiiiite. Alors à tout bientôt !!! 😀

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