Allez, tous les voyants sont au vert cette fois! En ce premier mai, je profite de ce jour férié presque ensoleillé pour déambuler de photos en photos. Les baskets aux pieds, je délaisse l’auto au garage. Yepa, une aprèm le nez au vent qui m’offre un bol d’air frais pour affronter ce mois de mai, avec un planning bien chargé.
Première halte à l’Hotel de Limur.
Chuis pas sûr que ça aurait fait marrer Klaus Kinski, mais le titre du film joue en ma faveur: l’important est d’aimer! 😀
J’ai vraiment apprécié le travail du club photo de l’IUT, tant dans le fond que dans la forme, chapeau.
Je passe pour le coup, vraiment le nez en l’air devant les différentes compositions du collectif In Visu. Je regrette la hauteur, qui ne me permet pas d’apprécier réellement le travail.
J’arrive avec grand bonheur au château de l’Hermine. J’attends beaucoup de l’expo Harcourt!
Un petit crochet au Bastion de Gréguénnic, formidable écrin des non moins beaux clichés de Scorcelletti.
Après un petit stop and go en terrasse sur le port pour m’abreuver, j’arpente la rive droite pour deux expositions aux antipodes: les paillettes du festival de Cannes vues par Patrice Terraz, vs un studio ougandais traité par Frédéric Noy. Entre les deux, je ne sais que choisir, je me régale avec les deux.
Pour moi, il est l’heure de retourner gentiment dans mes pénates.
Quelle chouette après-midi! Alors avis à toi, qui n’y a pas encore mis un ripaton: toutes les expos sont gratuites. Pour celles qui sont en intérieures, méfie toi, il y a forcément des horaires d’ouverture… Sinon, c’est open bar, et c’est jusqu’au 13 mai. Alors, tu n’es pas déjà parti? Allez, file, file, c’est vraiment sympa! 😉